La religion et la promotion des droits en matière de santé sexuelle et reproductive (DSSR) peuvent coexister pour le bien de tous

Allier foi et protection des droits humains est essentiel pour le bien-être de tous. En sensibilisant les communautés sur les DSSR, nous pouvons briser les tabous, améliorer la santé et le bien-être des jeunes filles et des femmes, tout en respectant les croyances religieuses.

𝐍𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐨𝐛𝐣𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟 : Bâtir des communautés inclusives où la foi et la santé se renforcent mutuellement pour un avenir sans violences basées sur le genre.

𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐲 𝐩𝐚𝐫𝐯𝐞𝐧𝐨𝐧𝐬-𝐧𝐨𝐮𝐬 ?

Au GJFA , nous utilisons 𝐥’𝐚𝐫𝐭 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐥 comme outil de sensibilisation auprès des leaders religieux. Cela permet de changer les perceptions et de lever les tabous autour de la sexualité.

Nous organisons également des 𝐝𝐢𝐚𝐥𝐨𝐠𝐮𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐚𝐮𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 qui favorisent les discussions entre les professionnels de santé et les leaders religieux, afin de dissiper les doutes et de déconstruire les mythes entourant les DSSR.

 

Nous collaborons étroitement avec les 𝐥𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫𝐬 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐚𝐮𝐭𝐞́𝐬 pour :

𝐂𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐫𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 autour de la santé sexuelle et reproductive (DSSR) en favorisant un dialogue ouvert et respectueux.

𝐁𝐫𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐚𝐛𝐨𝐮𝐬 sur la sexualité grâce à des campagnes de sensibilisation utilisant l’art social, afin de rendre ces sujets plus accessibles tout en respectant les croyances religieuses.

𝐆𝐚𝐫𝐚𝐧𝐭𝐢𝐫 𝐥’𝐚𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬 pour les femmes et les jeunes filles, en assurant que leurs droits à la santé soient protégés dans le respect de leurs valeurs spirituelles.

𝐂𝐡𝐞𝐳 𝐆𝐉𝐅𝐀, 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐞́𝐭𝐞́ 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐞 𝐞𝐭 𝐢𝐧𝐜𝐥𝐮𝐬𝐢𝐯𝐞.

Nous croyons fermement que la 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐨𝐧 peut et doit soutenir la 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐬𝐞𝐱𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞 des jeunes filles et des femmes, tout en luttant contre les 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐛𝐚𝐬𝐞́𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐠𝐞𝐧𝐫𝐞 (𝐕𝐁𝐆). Voici comment nous agissons concrètement :

𝐒𝐞𝐧𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫𝐬 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐞𝐮𝐱 : Nous collaborons avec les chefs religieux pour les former et les sensibiliser à l’importance du soutien aux droits reproductifs des femmes.

𝐂𝐚𝐮𝐬𝐞𝐫𝐢𝐞𝐬 𝐞́𝐝𝐮𝐜𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 : Nous organisons des causeries dans les communautés pour éduquer les jeunes filles sur leurs droits à la santé sexuelle et reproductive.

𝐏𝐥𝐚𝐢𝐝𝐨𝐲𝐞𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐜𝐥𝐮𝐬𝐢𝐯𝐞𝐬 : Nous travaillons avec les décideurs pour intégrer la lutte contre les VBG et les DSSR dans les politiques et pratiques locales.

Ensemble, nous travaillons à bâtir des communautés plus inclusives, où chacun a accès à des soins de santé respectant ses croyances

𝐔𝐧𝐢𝐫 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐃𝐒𝐒𝐑 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐞́𝐭𝐞́ 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐛𝐚𝐬𝐞́𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐠𝐞𝐧𝐫𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐚𝐮 𝐜œ𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐮 𝐆𝐉𝐅𝐀 !

Il est 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐝’𝐚𝐠𝐢𝐫 pour un avenir où l’égalité des sexes n’est plus une aspiration, mais une réalité vécue.

Le dialogue parent-enfant sur la santé sexuelle et reproductive: un pilier de confiance et de protection

 

 

 

 

 

 

 

 


Parents, devenir les premiers confident(e)s de vos enfants sur la santé sexuelle et reproductive (DSSR) n’est pas seulement une opportunité, c’est une responsabilité essentielle pour leur bien-être et leur avenir.

Le silence qui entoure les questions de sexualité dans beaucoup de familles expose les jeunes à des informations erronées venant des pairs ou des médias sociaux. Pourtant, aborder ce sujet en tant que parent permet de créer un environnement sûr et protecteur où l’enfant se sent libre de poser des questions sans crainte de jugement ou de tabous​.

Pourquoi ce dialogue est-il crucial ?

1. Gagner leur confiance
Les jeunes ont besoin de sentir qu’ils peuvent aborder des sujets délicats avec leurs parents. En initiant des conversations ouvertes et régulières, vous devenez leur source de référence sur les questions liées à la sexualité, loin des rumeurs ou des idées fausses. Les études montrent que les jeunes qui discutent de ces sujets avec leurs parents sont plus enclins à adopter des comportements responsables et à éviter les risques liés à la santé reproductive​.

2. Partager des informations fiables
En tant que parents, vous êtes les mieux placés pour offrir des réponses appropriées et adaptées à l’âge de vos enfants. Plutôt que d’attendre « le moment parfait », saisissez les occasions du quotidien pour discuter de sujets liés à la sexualité, qu’il s’agisse d’une scène à la télévision ou d’un commentaire entendu à la radio​.
C’est à travers ces petites conversations que vous pouvez transmettre des informations cruciales sur la protection contre les infections sexuellement transmissibles (IST), la contraception ou la prévention des grossesses précoces.

3. Encourager leur autonomie et responsabilité
Une éducation sexuelle complète ne se limite pas à la biologie, mais couvre aussi des aspects relationnels, émotionnels et éthiques. En leur expliquant les choix responsables et en respectant leur rythme d’apprentissage, vous les aidez à construire une vision saine et équilibrée de la sexualité, basée sur le respect de soi et des autres​.

4. Transmettre vos valeurs
Chaque famille a ses valeurs propres concernant la sexualité. Partager ces principes tout en respectant les questions et les opinions de votre enfant est une façon d’intégrer votre héritage moral dans leur éducation sexuelle.

Par exemple, un parent peut expliquer pourquoi certaines pratiques sont valorisées dans la famille tout en abordant les réalités du monde extérieur. Cela renforce les jeunes dans leur capacité à faire face aux pressions sociales ou aux influences extérieures​.
5. Prévenir les risques
L’un des rôles majeurs du dialogue parental est la prévention. En anticipant des situations potentiellement risquées, comme les relations précoces ou non protégées, vous donnez à vos enfants les outils pour faire des choix éclairés et éviter les dangers qui pourraient compromettre leur santé et leur avenir​

Protéger pour préparer l’avenir
Ouvrir ce dialogue sur la santé sexuelle, c’est non seulement protéger vos enfants, mais aussi les préparer à devenir des adultes responsables et informés. Ce dialogue est un acte d’amour et de protection qui les accompagnera tout au long de leur vie.

Si vous avez besoin d’aide pour démarrer ces conversations, n’hésitez pas à nous contacter pour des ressources et des conseils adaptés.

La religion, ne devrait jamais être un obstacle à la promotion des droits en matière de santé sexuelle et reproductive (DSSR)!

𝐋𝐚 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐠𝐢𝐨𝐧, 𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐯𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐮𝐧 𝐨𝐛𝐬𝐭𝐚𝐜𝐥𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐬 𝐞𝐧 𝐦𝐚𝐭𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐬𝐞𝐱𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞 (𝐃𝐒𝐒𝐑) !

Trop souvent, des croyances religieuses sont utilisées pour justifier des pratiques et normes sociales qui perpétuent les 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐛𝐚𝐬𝐞́𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐠𝐞𝐧𝐫𝐞 (𝐕𝐁𝐆). Mais il est possible de concilier foi et progrès. Les principes de respect, de justice et de dignité humaine, que partagent la plupart des religions, peuvent être des leviers pour promouvoir l’égalité des genres et lutter contre les violences faites aux femmes et aux jeunes filles.

𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐞𝐬𝐭-𝐜𝐞 𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 ?
🔹𝐁𝐫𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐚𝐛𝐨𝐮𝐬 : Les sujets comme la sexualité et la reproduction sont souvent perçus comme tabous dans les communautés religieuses. En les abordant avec respect et ouverture, nous contribuons à une meilleure compréhension et à une éducation éclairée.
🔹 𝐏𝐫𝐨𝐭𝐞́𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐯𝐮𝐥𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬 : Lorsque les normes sociales tolèrent ou ignorent les violences faites aux femmes, c’est toute une génération qui en souffre. Promouvoir les DSSR aide à protéger les femmes et les jeunes filles contre les abus.
🔹 𝐑𝐞𝐧𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞 𝐞𝐭 𝐝’𝐞́𝐠𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ : La majorité des croyances religieuses valorisent la dignité humaine. Utilisons ces valeurs pour encourager des comportements respectueux des droits des femmes et des jeunes filles.

𝐄𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞, 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐧𝐨𝐫𝐦𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐥𝐞𝐬 𝐧𝐞́𝐟𝐚𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐞𝐱𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐞𝐧 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐫𝐨𝐲𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐜𝐮𝐧. 𝐀𝐠𝐢𝐬𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐦𝐚𝐢𝐧𝐭𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝐚𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 !

🔗 En savoir plus sur nos actions et comment vous impliquer : https://wa.me/+22996004358

Parents, saviez-vous pourquoi est-il important de parler de sexualité avec vos enfants?

𝐏𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐬, 𝐬𝐚𝐯𝐢𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐞𝐬𝐭-𝐢𝐥 𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐱𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭é 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐯𝐨𝐬 𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭𝐬 ?
Discuter de sexualité avec ses enfants peut sembler intimidant, voire inconfortable pour certains parents. Pourtant, il s’agit d’un échange crucial qui offre de nombreux 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭𝐚𝐠𝐞𝐬 aussi bien pour les parents que pour les enfants. Prendre l’initiative d’aborder ce sujet de
manière ouverte et bienveillante contribue à leur éducation et à leur bien-être global.
𝟏. E𝐭𝐚𝐛𝐥𝐢𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐚𝐧𝐜𝐞 🤝
Lorsque vous engagez des discussions franches sur des sujets comme la sexualité, vous montrez à votre enfant que vous êtes là pour lui, quel que soit le sujet. Cela renforce la 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐦𝐮𝐭𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 et fait de vous une source 𝐟𝐢𝐚𝐛𝐥𝐞 d’information et de soutien. Votre enfant saura qu’il peut se tourner vers vous, plutôt que de chercher des réponses ailleurs, parfois dans des sources peu fiables.
𝟐. 𝐏𝐫é𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 à 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞 🚫
En fournissant des informations claires et adaptées à leur âge, vous aidez vos enfants à faire des 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐱 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬. Les jeunes mieux informés sont plus susceptibles de retarder leurs premiers rapports sexuels, d’utiliser des méthodes de contraception et de protection contre les IST, et d’éviter les comportements à risque tels que les rapports non protégés.
𝟑. 𝐃é𝐦𝐲𝐬𝐭𝐢𝐟𝐢𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐬𝐞𝐱𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭é 𝐞𝐭 𝐫é𝐝𝐮𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐚𝐛𝐨𝐮𝐬 🌱
Parler ouvertement de sexualité permet de déconstruire les 𝐦𝐲𝐭𝐡𝐞𝐬 et idées fausses souvent véhiculés sur certains médias et dans les discussions entre pairs. Cela aide votre enfant à se forger une vision plus saine et réaliste de la sexualité, tout en évitant des malentendus ou des craintes inutiles.
𝟒. 𝐓𝐫𝐚𝐧𝐬𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐯𝐨𝐬 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐞𝐭 𝐚𝐭𝐭𝐞𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐟𝐚𝐦𝐢𝐥𝐢𝐚𝐥𝐞𝐬 👨‍👩‍👧
La discussion sur la sexualité est aussi l’occasion de partager vos 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 et attentes à propos des relations et des comportements sexuels. Vous pouvez ainsi guider votre enfant en lui fournissant une base solide pour naviguer dans ses propres choix, en accord avec les principes familiaux.
𝟓. 𝐄𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭é 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 ⚖️
En abordant des sujets comme la contraception, la prévention des IST et l’importance du consentement, vous apprenez à vos enfants à être 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬 de leurs décisions. Ils comprendront mieux les conséquences potentielles de leurs actes et prendront des décisions plus éclairées.
𝐏𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐬, 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐫ô𝐥𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐫𝐢𝐦𝐨𝐫𝐝𝐢𝐚𝐥 ! 🎯
En tant que parents, vous jouez un rôle clé dans l’éducation sexuelle de vos enfants. Ne laissez pas ce sujet entre les mains de certains médias ou des pairs, qui peuvent véhiculer des informations erronées ou incomplètes. En engageant un dialogue sur la sexualité avec vos enfants, vous les préparez à faire des choix responsables, à adopter des comportements sains et à grandir dans un environnement de confiance et de respect.
 Rejoignez le GJFA et découvrez nos ressources pour vous aider dans cette démarche. Ensemble, faisons de la santé sexuelle une priorité pour nos adolescents et jeunes.

La Marche Rose : Ensemble, marchons pour la prévention du cancer du sein !

La Marche Rose : Ensemble, marchons pour la prévention du cancer du sein !

Le dépistage du cancer du sein est un geste simple qui peut sauver des vies, et pourtant, dans de nombreuses communautés, il reste trop souvent négligé. C’est dans cet esprit que le Groupe des Jeunes Filles et Femmes Autonomes (GJFA) organise la Marche Rose des jeunes filles et femmes de Houéyogbé, un événement essentiel qui aura lieu le samedi 26 octobre 2024.

Pourquoi cet événement est-il important ?

Le cancer du sein est la forme de cancer la plus courante chez les femmes, et il est prouvé que le dépistage précoce augmente considérablement les chances de guérison. Pourtant, beaucoup de femmes, en particulier dans les zones rurales, n’ont pas accès à des informations précises ou à des moyens de prévention adéquats. C’est pourquoi des initiatives telles que la Marche Rose sont vitales pour sensibiliser, informer et encourager les actions de prévention comme le dépistage régulier.

Un programme riche et impactant

L’objectif de cette marche n’est pas seulement de mobiliser les jeunes filles, mais aussi de créer un espace d’échanges et d’apprentissage autour du dépistage et de la prévention du cancer du sein. Voici ce qui est prévu :

  • Sensibilisation : Des sessions d’information seront organisées pour expliquer en quoi consiste le dépistage, pourquoi il est important, et comment cela peut sauver des vies.
  • Dépistage : Pendant l’événement, des opportunités de dépistage seront offertes gratuitement, permettant aux participantes de se faire examiner sur place.
  • Déclamation poétique et débats : Ces moments de partage permettront de briser le silence et les tabous autour de la maladie. Les jeunes filles auront l’occasion d’exprimer leur solidarité à travers des poèmes et de participer à des discussions enrichissantes avec des professionnels de la santé.

Pourquoi les jeunes filles doivent-elles s’impliquer ?

Participer à la Marche Rose est une démarche à la fois personnelle et collective. En s’engageant, les jeunes filles deviennent non seulement des actrices de leur propre santé, mais aussi des ambassadrices de la sensibilisation dans leurs familles et leurs communautés. Elles montrent l’exemple en adoptant des comportements préventifs et en diffusant des messages de bien-être.

De plus, cet événement leur offre une opportunité unique d’interagir avec des experts en santé, de poser des questions, et de prendre conscience de l’importance de leur santé physique et mentale.

Informations pratiques :

  • Date : Samedi 26 octobre 2024
  • Lieu : Centre Ami des Ados, Houéyogbé
  • Heure : À partir de 9h
  • Contact : +229 96 00 43 58

Rejoignez-nous et marchons ensemble pour la santé des jeunes filles et des femmes !

Votre participation est cruciale. Marcher, c’est montrer votre soutien à la cause, c’est renforcer la solidarité entre femmes, et c’est aussi apprendre à mieux prendre soin de vous et des autres. N’attendez pas pour agir ! Ensemble, faisons de la Marche Rose un mouvement fort contre le cancer du sein.

Journée Internationale de la Femme par le GJFA à Houéyogbé

Le 8 mars est une date emblématique qui célèbre les droits des femmes à travers le monde. À Houéyogbé, cette journée a pris une dimension particulière grâce à l’engagement du Groupe de Jeunes Filles et  Femmes Autonomes  (GJFA). En 2024, le GJFA a organisé une célébration marquée par des activités variées, des discussions inspirantes et un fort esprit de solidarité. Retour sur cet événement mémorable.

Une journée de réflexion

La Journée Internationale de la Femme est bien plus qu’une simple célébration. Elle invite à la réflexion sur les inégalités persistantes dans notre société. Malgré des avancées significatives, les jeunes filles et les femmes continuent de faire face à des discriminations, à des violences et à des inégalités salariales. C’est l’occasion de s’interroger : qu’est-ce qui a été accompli et que reste-t-il à faire ? En 2024, les thèmes choisis par les organisations féministes soulignent souvent l’importance de la santé reproductive, de la lutte contre les violences basées sur le genre, l’autonomisation économique des femmes. En un mot investir sur la femme pour un avenir meilleur.

Un thème fort : « Agir Ensemble pour l’Égalité »

Cette année, le GJFA a choisi de mettre en avant le thème « Agir Ensemble pour l’Égalité », soulignant l’importance de l’unité dans la lutte pour les droits des femmes. La journée a débuté par une marche symbolique à travers les rues de Houéyogbé, rassemblant des femmes de tous âges et de tous horizons. Cette marche a permis de sensibiliser la population locale aux enjeux de l’égalité des sexes et à l’importance de l’émancipation des femmes.

Des ateliers éducatifs et inspirants

Au cœur de cette journée, plusieurs ateliers ont été animés, abordant des thèmes variés tels que :

Au cœur de cette journée, plusieurs ateliers ont été animés, abordant des thèmes variés tels que :

santé sexuelle et reproductive : Des spécialistes ont discuté de l’importance de la santé sexuelle reproductive, abordant des sujets souvent tabous et fournissant des informations précieuses aux participantes.

entrepreneuriat féminin : Des témoignages de femmes entrepreneuses ont été partagés, inspirant les participantes à envisager des projets professionnels et à se lancer dans l’entrepreneuriat.

Un moment de solidarité et d’engagement

La Journée Internationale de la Femme à Houéyogbé a également été l’occasion de renforcer la solidarité entre les femmes. Un forum de discussion a permis aux participantes d’échanger sur leurs expériences, de partager des conseils et de créer des liens. L’esprit d’entraide et de camaraderie était palpable, renforçant le message que l’union fait la force.

À travers des actions concrètes et une mobilisation collective, le GJFA montre que chaque jour peut être un pas vers l’égalité. En 2024, continuons à nous battre pour un avenir où chaque femme peut s’épanouir librement et pleinement. Que cette journée ne soit qu’un début vers un changement durable dans notre communauté !

 

Disons NON ! STOP ! EKPE ! AUX VIOLENCES FAITES AUX FEMMES ET AUX FILLES DANS LA COMMUNE DE HOUEYOGBE ! ET PARTOUT DANS LE BENIN»

Célébrer l’Unité : 16 Jours d’Activisme pour Éliminer la Violence à l’Égard des Femmes

Le 25 novembre dernier, le monde entier a marqué la Journée internationale de l’élimination de toutes les formes de violences à l’égard des femmes. Cette journée, emblématique et essentielle, donne le coup d’envoi à une période de sensibilisation cruciale : les 16 Jours d’Activisme contre les Violences Basées sur le Genre, qui se poursuivent jusqu’au 10 décembre qui est la Commémoration de la Déclaration Universelle des Droits de l’Hommes. Le Groupe de Jeunes Filles Autonomes (GJFA) n’est pas resté en marge de cette célébration.

Cette année, le thème de la campagne est particulièrement fort : « TOUS Unis ! Investir pour prévenir la violence à l’égard des femmes et des filles ». Ce message résonne comme un appel à l’action collective, soulignant l’importance d’une mobilisation et une synergie d’action  à tous les niveaux de la société pour éradiquer ce fléau.

Une mobilisation globale

Les violences à l’égard des femmes touchent des millions de personnes à travers le monde, transcendant les frontières culturelles, économiques et géographiques. En cette période de 16 jours, des individus, des organisations et des gouvernements se rassemblent pour dénoncer ces actes et promouvoir des solutions concrètes. Il est essentiel de comprendre que la violence n’est pas une fatalité ; elle peut être prévenue par des efforts coordonnés et des investissements adéquats.

Investir dans la prévention

L’investissement dans des programmes de prévention est une pierre angulaire de cette campagne. Cela inclut des initiatives éducatives qui visent à sensibiliser les jeunes aux questions de consentement, d’égalité des genres et de respect mutuel. En formant les générations futures, nous créons un environnement où la violence n’a pas sa place.

De plus, le soutien aux victimes est crucial. Cela signifie fournir des ressources accessibles, telles que des refuges, des services de santé mentale et des conseils juridiques. En investissant dans ces infrastructures, nous montrons que la société prend au sérieux le problème de la violence à l’égard des femmes et des filles. C’est ce que le GJFA s’est attelé à démontrer lors de cette campagne à travers les messages véhiculés par les sketchs réalisés par ses membres ainsi que les chants pour mieux captiver l’attention de la population qui a un faible pour l’art social.

Un appel à l’action

Chacun de nous a un rôle à jouer. Que ce soit en partageant des informations, en participant à des événements ou en soutenant des organisations qui œuvrent pour la cause, chaque geste compte. En nous unissant, nous pouvons contribuer à créer un monde plus sûr et plus égalitaire.

Les 16 Jours d’Activisme sont une occasion non seulement de réfléchir à ces questions, mais aussi de s’engager activement pour le changement. Ensemble, faisons entendre nos voix pour un avenir sans violence. Le GJFA n’a pas manqué de rappeler son engagement pour la lutte contre l’élimination des violences à l’égard des filles et des femmes à travers des phrases très fortes lancées par ses membres après avoir exhorté les autorités à les accompagner dans ce combat de tous les jours.

« Nous Jeunes Filles, membres du GJFA, à l’occasion de la célébration des 16 jours d’activisme pour l’élimination des Violences à l’égard des filles et des femmes, RÉITÉRONS, la Nécessité de l’accompagnement des Autorités dans la lutte pour l’élimination des violences faites aux femmes et aux filles à travers l’insertion d’une ligne budgétaire pour des activités de sensibilisation ainsi que l’appui pour les sanctions effectives des auteurs de ces infractions ».

Elles s’engagent également aux côtés de leurs autorités dans cette lutte.

« NOUS NOUS ENGAGEONS à travailler de manière individuelle et collective afin d’assurer l’élimination effective de toutes les formes de violences à l’égard des femmes et des filles dans toute la Commune de Houéyogbé et le Bénin entier »

Alors que nous poursuivons cette campagne, rappelons-nous que chaque action, aussi petite soit-elle, peut faire une différence. Investissons dans un avenir où les femmes et les filles vivent libres de toute forme de violence. Soyons tous unis pour ce combat essentiel.

Disons NON ! STOP ! EKPE ! AUX VIOLENCES FAITES AUX FEMMES ET AUX FILLES DANS LA COMMUNE DE HOUEYOGBE ! ET PARTOUT DANS LE BENIN»

Grossesse Précoce et Émergence Féminine dans Houéyogbé GPEFH avec l’appui de Oxfam au Bénin

Retour en images de l’atelier d’auto-évaluation des 03 ans d’exécution du Projet GPEFH. 03 ans après la mise en œuvre du Grossesse Précoce et Émergence Féminine dans Houéyogbé GPEFH avec l’appui de Oxfam au Bénin à travers le projet Voix et Leadership des Femmes VLF financé par Affaires Mondiales Canada, le GJFA a procédé à l’auto évaluation de la mise en œuvre des ses activités.

 

Le 16 Février 2024,  dans la salle de conférence de l’arrondissement de Houéyogbé ;  Le Groupe des Jeunes Filles Autonomes (GJFA) après 03 ans d’exécution a organisé un atelier d’auto-évaluation pour marquer la fin des trois premières années d’exécution du projet Grossesse Précoce et Émergence Féminine (GPEFH). Cette évaluation, rendue possible grâce au soutien d’Oxfam au Bénin et au financement d’Affaires Mondiales Canada à travers le projet Voix et Leadership des Femmes (VLF), a permis de faire le point sur les réalisations et les défis rencontrés.

Un Regard rétrospectif sur les trois (03) ans de mise en œuvre

Depuis son lancement, le projet GPEFH a Contribué à l’amélioration de la Santé et Droits Sexuels et Reproductifs fondamentaux dans la Commune de Houéyogbé. Avec une approche axée sur l’autonomisation et la réduction des risques liés à la grossesse précoce, le projet a fourni des ressources, des formations et un soutien direct aux bénéficiaires.

L’atelier d’auto-évaluation a réuni des acteurs clés du projet, des partenaires et des bénéficiaires pour une journée d’analyse et de réflexion. Ce fut l’occasion de :

  • Faire le bilan des activités : Un retour détaillé sur les différentes activités mises en œuvre au cours des trois années, en mettant en lumière les réussites et les domaines nécessitant des améliorations.
  • Discuter des Défis : Identifier les obstacles rencontrés et comment ils ont été surmontés.
  • Partager des Témoignages : Entendre directement les bénéficiaires parler de l’impact du projet sur leur vie quotidienne et leurs ambitions.

 

Les Moments forts de l’atelier

Les participants ont eu l’opportunité de visualiser une série de photos et de vidéos illustrant les moments clés du projet. Ces images ont capturé non seulement les événements marquants mais aussi et les changements concrets obtenus grâce au projet  dans la localité. Voici quelques moments forts :

  • Sessions de Formation : Des images de sessions de formation où les jeunes femmes ont acquis de nouvelles compétences essentielles pour leur autonomisation à travers leurs activités génératrices de revenus qu’est l’élevage de Coquelet.
  • Distribution de Kits : Photos de la distribution de kits de soutien aux bénéficiaires, montrant l’impact immédiat sur leur quotidien.
  • Séances de Plaidoyers : Moments d’échanges et de dialogues entre les bénéficiaires et les autorités locales pour la prise en compte des DSSR dans le Plan de Développement Communal de Houéyogbé.

 

 

Vers l’Avenir : Leçons apprises et prochaines étapes

L’atelier a également permis de dégager des leçons importantes et des bonnes pratiques  pour les futurs projets. Parmi les principales leçons :

  • Renforcement des Capacités : L’importance de continuer à investir dans la formation et le développement des compétences des bénéficiaires pour leur autonomisation.
  • Amélioration de la Communication : La nécessité de renforcer la communication autour des actions du projet pour plus de portée.
  • Évaluation Continue : La mise en place d’un comité de suivi pour s’assurer de la continuité des actions

Conclusion

L’atelier d’auto-évaluation a été un moment de réflexion précieuse et de célébration des réussites du projet GPEFH. Grâce au soutien d’Oxfam au Bénin et à Affaires Mondiales Canada, le GJFA a pu faire un pas important vers l’amélioration de la Santé et Droits Sexuels et Reproductifs fondamentaux dans la Commune de Houéyogbé. Ce bilan de trois ans est non seulement un récapitulatif des accomplissements mais aussi une étape cruciale pour planifier les prochaines actions et continuer à faire progresser les Droits en Santé Sexuelle Reproductive des jeunes filles dans la commune de Houéyogbé ainsi que leur   l’autonomisation.

Soutien aux Jeunes Filles à Houéyogbé : Des Kits pour Célébrer le Succès des Étudiantes et Apprenties

Dans un geste significatif pour encourager les jeunes filles dans leur parcours académique et professionnel, le projet Grossesse Précoce et Émergence Féminine dans Houéyogbé (GPEFH) a récemment offert des dons précieux aux étudiantes et aux apprenties qui ont réussi leurs examens de Certificat de Qualification Professionnelle (CQM). Cet appui  est le fruit d’un partenariat réussi entre le Groupe de Jeunes Filles Autonomes (GJFA), l’organisation Oxfam au Bénin et Affaires Mondiales Canada à travers le projet Voix et Leadership des Femmes (VLF).

Une reconnaissance des réussites

Le  GJFA  à travers son projet GPEFH, dont l’objectif  est de Contribuer à l’amélioration de la Santé et Droits Sexuels et Reproductifs fondamentaux dans la Commune de Houéyogbé, a décidé de récompenser les étudiantes et les apprenties pour leur travail acharné et leur réussite académique. Ce soutien vise non seulement à célébrer leurs accomplissements, mais aussi à les encourager à poursuivre leurs ambitions professionnelles avec plus de confiance et de ressources.

Un soutien concret et précieux

Pour les étudiantes, le soutien se traduit par la fourniture de vivres essentiels. Ces kits alimentaires sont conçus pour alléger la charge financière et garantir que les jeunes femmes puissent se concentrer sur leurs études sans être préoccupées par les besoins alimentaires quotidiens.

Quant aux apprenties, elles bénéficient de machines à coudre et de divers accessoires qui leur permettront d’améliorer leurs compétences et d’initier des projets professionnels. Cette aide matérielle est cruciale pour celles qui sont en fin de formation professionnelle et  souhaitent se lancer dans des activités afin de transformer leurs compétences en opportunités concrètes.

Une collaboration impactante

Ce projet est un excellent exemple de la manière dont les partenariats internationaux peuvent avoir un impact direct et positif sur des communautés locales. Avec l’appui d’Oxfam au Bénin et d’Affaires Mondiales Canada, le GJFA a pu mettre en place une aide ciblée et adaptée aux besoins des bénéficiaires. Cette collaboration témoigne de l’engagement de ces organisations envers la promotion de l’égalité des chances et l’autonomisation des filles et des femmes.

Vers un avenir prometteur

Le projet GPEFH continue de jouer un rôle crucial dans la vie des jeunes femmes de Houéyogbé, en les aidants à surmonter les obstacles et à saisir des opportunités. Les dons de kits sont plus qu’une simple aide matérielle ; ils sont un symbole d’encouragement et de soutien pour un avenir meilleur.

Le projet Grossesse Précoce et Émergence Féminine montre comment des initiatives locales, soutenues par des partenariats internationaux, peuvent faire une différence significative dans la vie des jeunes femmes. Ces actions ne font pas seulement honneur à leurs réussites, mais les préparent aussi à affronter les défis futurs avec plus de ressources et de détermination.